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L’arrivée de l’automobile dans la capitale à la « Belle Époque », la période prolifique de l’entre-deux-guerres, celle des Trente Glorieuses (trente pollueuses ?), enfin le temps du désenchantement et de la «débagnolisation» progressive depuis les chocs pétroliers des années 1970, où d’autres usages sont à inventer pour des édifices en voie d’obsolescence, scandent cette histoire.
Chacune de ces grandes étapes est illustré par plusieurs bâtiments, sélectionnés pour leur intérêt exceptionnel – architectural, urbain, structurel… – ou leur caractère particulièrement représentatif. Il s’agit bien évidemment d’une sélection subjective, dans un corpus loin d’être exhaustif, présenté par ailleurs dans le livret qui accompagne cette chronologie. Ce panorama d’architectures et de paysages générés pour et autour de l’automobile reste un champ de recherche ouvert, celui de bâtiments encore en manque de connaissance et de reconnaissance.