L'exposition "L'art des sentiers métropolitains" est présentée à Eden, Centre Culturel Régional de Chareloi du 26 septembre au 31 octobre 2024
Développés à Bordeaux, Boston, Istanbul, Milan, Marseille… les Sentiers métropolitains ouvrent un nouvel espace de création à la croisée des mondes de l’aménagement, de l’art, du tourisme, de l’écologie. Tant projets urbains que culturels, ils sont conçus selon plusieurs dimensions : des explorations collectives pour les élaborer (repérages, marches publiques, randonnées métropolitaines…), des récits partagés qui les documentent (projets artistiques, livres, articles, récits de voyage, feuilletons sonores, films documentaires, expositions…) et un itinéraire partagé réalisé de façon concertée avec les territoires.
L’exposition « L’art des sentiers métropolitains » révèle cette pratique émergente, rend hommage aux pionniers de la discipline, donne les clés de la création d’un sentier métropolitain et dévoile pour la première fois le tracé du sentier du Grand Paris.
600 km à pied, 30 jours de marche, ce sentier est le premier équipement culturel métropolitain à l’échelle du Grand Paris. Conçu et porté par des artistes, architectes, urbanistes, philosophes, il invite les habitants et les promeneurs à vivre une expérience au long cours entre proche et grande banlieue. Pour ses concepteurs, aux côtés d’autres mouvements de société, comme l’agriculture urbaine ou l’urbanisme transitoire, la randonnée métropolitaine modifie les façons d’habiter et d’appréhender le territoire. « En nous permettant de renouer avec l’espace physique à l’épicentre même de la crise écologique, ces sentiers contribuent à imaginer la ville de l’après-pétrole.
L’exposition « L’art des sentiers métropolitains » révèle cette pratique émergente, rend hommage aux pionniers de la discipline, donne les clés de la création d’un sentier métropolitain et dévoile pour la première fois le tracé du sentier du Grand Paris.
600 km à pied, 30 jours de marche, ce sentier est le premier équipement culturel métropolitain à l’échelle du Grand Paris. Conçu et porté par des artistes, architectes, urbanistes, philosophes, il invite les habitants et les promeneurs à vivre une expérience au long cours entre proche et grande banlieue. Pour ses concepteurs, aux côtés d’autres mouvements de société, comme l’agriculture urbaine ou l’urbanisme transitoire, la randonnée métropolitaine modifie les façons d’habiter et d’appréhender le territoire. « En nous permettant de renouer avec l’espace physique à l’épicentre même de la crise écologique, ces sentiers contribuent à imaginer la ville de l’après-pétrole.