35 km de long, 1 000 000 m2 de chaussée principale, 17 ans de travaux, 1,2 millions de véhicules par jour, 80 décibels, 44 hectares d’espaces verts, fleuris et boisés, 18 000 arbres...
e Périphérique franchit deux fois la Seine, traverse 9 faisceaux de voies ferrées, 2 canaux, 17 lignes de métro, 66 voies routières, 4 passerelles, 3 souterrains piétons. Au-delà d’un simple ruban d’asphalte, le périphérique est devenu, au fil du temps, un élément constitutif de l’agglomération parisienne et de sa vie quotidienne.
A l’occasion du trentième anniversaire du périphérique, le Pavillon de l’Arsenal a consacré une exposition à ce qui fut l’une des dernières grandes infrastructures routières de la ville.
Un déroulé topographique présentait, de porte en porte, le tracé du périphérique et son insertion urbaine, les paysages, les espaces résiduels ou intermédiaires, les grandes emprises qu’il génère, les liens et les coupures qu’il crée entre Paris et la banlieue et les constructions qui le longent. Enfin, un déroulé chronologique retraçait l’historique du projet, sa naissance controversée, les données statistiques, le paysage en mouvement, la publicité et l’architecture commerciale et, enfin, le périphérique de nuit.
Ces parcours étaient illustrés de photographies originales, d’images de chantiers, d’une quinzaine de maquettes réalisées de 1960 à aujourd’hui, d’interviews, d’articles de presse et de textes d’auteur, d’études et de projets récents d’aménagement ou de couverture, d’extraits de films et d’un remarquable reportage photographique réalisé par François Lacour au cours des deux dernières années.
Avec plus de 100.000 habitants le long de son parcours, le périphérique constitue bien sûr, une source de problèmes récurrents et n’a cessé, depuis sa création en 1973, de faire l’objet d’études. Longtemps considérée comme un ailleurs, voire un “nulle-part”, cette infrastructure est, aujourd’hui, amenée à jouer un rôle de lien fort entre Paris et les communes riveraines.
A l’occasion du trentième anniversaire du périphérique, le Pavillon de l’Arsenal a consacré une exposition à ce qui fut l’une des dernières grandes infrastructures routières de la ville.
Un déroulé topographique présentait, de porte en porte, le tracé du périphérique et son insertion urbaine, les paysages, les espaces résiduels ou intermédiaires, les grandes emprises qu’il génère, les liens et les coupures qu’il crée entre Paris et la banlieue et les constructions qui le longent. Enfin, un déroulé chronologique retraçait l’historique du projet, sa naissance controversée, les données statistiques, le paysage en mouvement, la publicité et l’architecture commerciale et, enfin, le périphérique de nuit.
Ces parcours étaient illustrés de photographies originales, d’images de chantiers, d’une quinzaine de maquettes réalisées de 1960 à aujourd’hui, d’interviews, d’articles de presse et de textes d’auteur, d’études et de projets récents d’aménagement ou de couverture, d’extraits de films et d’un remarquable reportage photographique réalisé par François Lacour au cours des deux dernières années.
Avec plus de 100.000 habitants le long de son parcours, le périphérique constitue bien sûr, une source de problèmes récurrents et n’a cessé, depuis sa création en 1973, de faire l’objet d’études. Longtemps considérée comme un ailleurs, voire un “nulle-part”, cette infrastructure est, aujourd’hui, amenée à jouer un rôle de lien fort entre Paris et les communes riveraines.