Ce n'était pas une exposition exhaustive de recensement des toits de Paris, mais il s'agissait plus, par touches successives, de donner à apprécier et à questionner la notion de couverture.
La scénographie claire, facilement lisible par le visiteur mêlait la pédagogie et le plaisir, la poésie et la matière.
Elle se développait selon un parcours linéaire décomposé en quatre thèmes :
1- Les toits de Paris au cinéma, souvenirs communs amenant le visiteur au coeur même du sujet de l'exposition.
2- L'histoire des toits de Paris racontée chronologiquement selon trois regards convergents : le toit vu depuis la rue (comme couronnement), le toit vu de près (lieu d'usages et de techniques), le toit vu du ciel (l'inscription dans le paysage). En parallèle une succession de maquettes urbaines racontait les modifications de la silhouette (le sky-line) de Paris.
3- Les contraintes techniques actuelles liées à la conception des toitures et leurs influences sur les données esthétiques, économiques et écologiques.
4- Des projets remarquables pour la qualité du traitement de leur couverture. Des toitures les plus excentriques aux plus discrètes, des toits-terrasses accessibles à tous aux toits les plus intimes. Une cinquantaine de toitures étaient exposées dont notamment la terrasse de l'appartement aménagé par Le Corbusier pour Charles Beistégui en 1929, qui concluait l'exposition.
1- Les toits de Paris au cinéma, souvenirs communs amenant le visiteur au coeur même du sujet de l'exposition.
2- L'histoire des toits de Paris racontée chronologiquement selon trois regards convergents : le toit vu depuis la rue (comme couronnement), le toit vu de près (lieu d'usages et de techniques), le toit vu du ciel (l'inscription dans le paysage). En parallèle une succession de maquettes urbaines racontait les modifications de la silhouette (le sky-line) de Paris.
3- Les contraintes techniques actuelles liées à la conception des toitures et leurs influences sur les données esthétiques, économiques et écologiques.
4- Des projets remarquables pour la qualité du traitement de leur couverture. Des toitures les plus excentriques aux plus discrètes, des toits-terrasses accessibles à tous aux toits les plus intimes. Une cinquantaine de toitures étaient exposées dont notamment la terrasse de l'appartement aménagé par Le Corbusier pour Charles Beistégui en 1929, qui concluait l'exposition.