Cette fonctionnalité requiert l'utilisation de cookies
Vous pouvez modifiez vos préférences cookies ici
Les idées nouvelles ne manqueront pas de foisonner. C’est d’ailleurs le propre des Professionnels de la Construction. Mais ce bouillonnement ne servira pas passé le cap du déconfinement si un cadre de mutualisation n’est pas tracé. De mon point de vue cette réflexion organisationnelle devrait se développer en trois points.
A- Il est indispensable d’affirmer le rôle des aires métropolitaines.
Les bons esprits ne trouvent rien d’autre que de préconiser de « dégonfler les métropoles ». Mais comment accéder à une capacité d’autofinancement sans cette échelle. Néanmoins il ne faut pas s’en tenir à la définition administrative de la métropole mais bien plus de la penser en relation avec son hinterland.
B- Il est indispensable de réfléchir à cette échelle au design de nouveaux patterns urbains.
Cela passe par une nouvelle organisation spatiale d’îlots multifonctinnels où une mutualisation des espaces est possible. Si cela doit se faire en économisant les surfaces construites c’est pour permettre de développer les services ecosytémiques. En parallèle une réflexion doit être menée sur les espaces publics en vue d’une nouvelle urbanité qui tiendra compte des risques climatiques.
C- Une telle ambition passe par une coopération transdisciplinaire .
Le travail en silos traditionnels des professionnels est un le contresens improductif tant au plan individuel que collectif qui n’est justifié que dans l’idée d’un jeu à somme nulle. Or l’enjeu de notre cadre de vie passe par un challenge proactif ou chacun devrait retrouver la capacité et la fierté de concaténer ses dons d’innovation au service d’un « bien commun ».
Il en va ainsi de ce défi collectif qui est de retrouver une relation étroite entre une collectivité et son territoire. Mais cela dépend aussi de la responsabilité de chacun. Faire projet c’est partager une vision commune.
A- Il est indispensable d’affirmer le rôle des aires métropolitaines.
Les bons esprits ne trouvent rien d’autre que de préconiser de « dégonfler les métropoles ». Mais comment accéder à une capacité d’autofinancement sans cette échelle. Néanmoins il ne faut pas s’en tenir à la définition administrative de la métropole mais bien plus de la penser en relation avec son hinterland.
B- Il est indispensable de réfléchir à cette échelle au design de nouveaux patterns urbains.
Cela passe par une nouvelle organisation spatiale d’îlots multifonctinnels où une mutualisation des espaces est possible. Si cela doit se faire en économisant les surfaces construites c’est pour permettre de développer les services ecosytémiques. En parallèle une réflexion doit être menée sur les espaces publics en vue d’une nouvelle urbanité qui tiendra compte des risques climatiques.
C- Une telle ambition passe par une coopération transdisciplinaire .
Le travail en silos traditionnels des professionnels est un le contresens improductif tant au plan individuel que collectif qui n’est justifié que dans l’idée d’un jeu à somme nulle. Or l’enjeu de notre cadre de vie passe par un challenge proactif ou chacun devrait retrouver la capacité et la fierté de concaténer ses dons d’innovation au service d’un « bien commun ».
Il en va ainsi de ce défi collectif qui est de retrouver une relation étroite entre une collectivité et son territoire. Mais cela dépend aussi de la responsabilité de chacun. Faire projet c’est partager une vision commune.
Dr. Christophe Gobin, Avril 2020