Il est grand temps, de mettre le logements qualitatif, au coeur de nos vies .
A l'issue de cette période de confinement, il est probable que l'achat de résidences secondaires va faire un boom, et que chacun voudra son jardin, sa terrasse ,son balcon .
Les architectes sont souvent accusés de faire des » cages à poules », ils conçoivent des logements, au coeur des villes et des banlieues .
Nous avons analysé , depuis quelques temps , et plus encore à la lueur de la dernière campagne électorale, que la densité devient plus que de raison, tabou !
Nous Architectes , avons des donneurs d'ordre qui nous demandent de faire des logements compacts, et la plupart du temps, aucun espace extérieur pour les studios ou deux pièces, nous nous plions à cette demande, souvent..., l'économie du projet, relève d'un concept "complexe", dont nous sommes exclus.
Le législateur a su nous contraindre à concevoir des sanitaires PMR pour tous les logements, réduisant de fait systématiquement les pièces de vie.
Ne faudra-t-il pas revenir aux 10% de logements PMR , permettant par la même de valoriser ces surfaces récupérées en espaces de vie et d’extérieur ?
Ce même législateur , saura-t-il nous contraindre à concevoir des espaces extérieurs pour tous les logements, de ne pas considérer qu'il s'agit d'un luxe mais d'une nécessité vitale, pour les programmes de logements neufs en locatif social, en accession ?
Saura-t-il programmer, dans les rénovations, quartiers ANRU ,NPRU, des réhabilitations de logements avec espaces extérieurs à construire, sans augmentation de loyers ?
Le législateur est aujourd'hui une femme ou un homme, comme les autres confinés, contraints.
Alors réfléchissons ensemble, nous tous les intervenants à l'acte de bâtir rapidement et sans attendre la prochaine crise.
Les lois, ordonnances ,décrets et autres actions , à mettre en oeuvre, afin d'inscrire ce droit dans notre futur.
A l'issue de cette période de confinement, il est probable que l'achat de résidences secondaires va faire un boom, et que chacun voudra son jardin, sa terrasse ,son balcon .
Les architectes sont souvent accusés de faire des » cages à poules », ils conçoivent des logements, au coeur des villes et des banlieues .
Nous avons analysé , depuis quelques temps , et plus encore à la lueur de la dernière campagne électorale, que la densité devient plus que de raison, tabou !
Nous Architectes , avons des donneurs d'ordre qui nous demandent de faire des logements compacts, et la plupart du temps, aucun espace extérieur pour les studios ou deux pièces, nous nous plions à cette demande, souvent..., l'économie du projet, relève d'un concept "complexe", dont nous sommes exclus.
Le législateur a su nous contraindre à concevoir des sanitaires PMR pour tous les logements, réduisant de fait systématiquement les pièces de vie.
Ne faudra-t-il pas revenir aux 10% de logements PMR , permettant par la même de valoriser ces surfaces récupérées en espaces de vie et d’extérieur ?
Ce même législateur , saura-t-il nous contraindre à concevoir des espaces extérieurs pour tous les logements, de ne pas considérer qu'il s'agit d'un luxe mais d'une nécessité vitale, pour les programmes de logements neufs en locatif social, en accession ?
Saura-t-il programmer, dans les rénovations, quartiers ANRU ,NPRU, des réhabilitations de logements avec espaces extérieurs à construire, sans augmentation de loyers ?
Le législateur est aujourd'hui une femme ou un homme, comme les autres confinés, contraints.
Alors réfléchissons ensemble, nous tous les intervenants à l'acte de bâtir rapidement et sans attendre la prochaine crise.
Les lois, ordonnances ,décrets et autres actions , à mettre en oeuvre, afin d'inscrire ce droit dans notre futur.
Myriam Szwarc, Avril 2020
