Depuis 20 ans, des itinéraires de marche au long cours en milieux urbains et périurbains ont émergé successivement à Bordeaux, Milan, Marseille, Paris, Istanbul, Londres, Tunis, Avignon, Toulon, Liège, Charleroi, Cologne, Athènes, Boston…
Héritant de démarches artistiques, les sentiers métropolitains sont des équipements pérennes, qui revendiquent une dimension d’aménagement urbain. Ces œuvres collectives d’urbanisme artisanal sont réalisées par celles et ceux qui les dessinent, les produisent, les photographient, les arpentent et les racontent.
Aux côtés d’autres mouvements de société – comme l’agriculture urbaine ou l’urbanisme de transition –, la randonnée métropolitaine modifie nos façons d’habiter. En nous permettant de renouer avec l’espace physique à l’épicentre de la crise écologique, ces sentiers contribuent à imaginer la ville de l’après-pétrole.
Aux côtés d’autres mouvements de société – comme l’agriculture urbaine ou l’urbanisme de transition –, la randonnée métropolitaine modifie nos façons d’habiter. En nous permettant de renouer avec l’espace physique à l’épicentre de la crise écologique, ces sentiers contribuent à imaginer la ville de l’après-pétrole.