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Tout au long de l’année, été comme hiver, tous les jours et les soirs de la semaine, plus de quatre cents lieux mettent Paris en fête.
Ces centaines de lieux, quels qu’en soient le style, la taille, la notoriété ou le public, sont tous plus grands ou plus petits les uns que les autres, plus monumentaux ou plus quotidiens, tous pareils et tous différents, à l’image de leurs animateurs.
Situation urbaine, morphologie, pratiques culturelles, autant de clefs sans cesse renouvelées qui nous instruisent sur une histoire parallèle de la ville : celle des censures, des incendies, des révolutions et des joutes démocratiques qui ont accompagné deux cents ans de la formation de ce patrimoine bâti ou détourné, qui n’existe que par la représentation qui l’anime, chaque année plus vieux, chaque année plus contemporain.
Il faut écouter le dialogue utopique de tous les acteurs de cette histoire de l’éphémère, histoire qui, de tréteaux en monuments, ne dit toujours pas si elle préfère l’abri ou l’édifice comme théâtre de ses créations.
Situation urbaine, morphologie, pratiques culturelles, autant de clefs sans cesse renouvelées qui nous instruisent sur une histoire parallèle de la ville : celle des censures, des incendies, des révolutions et des joutes démocratiques qui ont accompagné deux cents ans de la formation de ce patrimoine bâti ou détourné, qui n’existe que par la représentation qui l’anime, chaque année plus vieux, chaque année plus contemporain.
Il faut écouter le dialogue utopique de tous les acteurs de cette histoire de l’éphémère, histoire qui, de tréteaux en monuments, ne dit toujours pas si elle préfère l’abri ou l’édifice comme théâtre de ses créations.