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Après le temps des contributions individuelles, vient celui de la discussion et du débat. Le Pavillon de l’Arsenal en partenariat avec tema.archi poursuit la série d’émissions, en public et sur les réseaux sociaux, pour questionner les différentes propositions recueillies dans le cadre du forum en ligne « Et demain, on fait quoi ? », qui rassemble plus de 198 contributions publiées depuis le 16 avril.
Quelques mois après nos retrouvailles avec la ville, qu’en est-il de nos attentes pour demain ? Pour le philosophe de la ville et de l’architecture Philippe Simay, c’est la création d’un Green New Deal de la construction qui serait salvatrice, incluant notamment une formation concrète aux métiers du réemploi. Séverine Chapus, qui s’interrogeait durant le confinement sur le principe actif de la ville, aimerait, de son côté, continuer à bénéficier de toutes les initiatives d’entraide et de partage qui fleurissaient alors. Une adaptation qui convient parfaitement à l’ingénieur Frank Boutté, vigilant sur la nécessité, selon lui, de « ne pas tout remettre en question à l’aune de la crise ». Une idée que ne renieraient pas les architectes de l’Atelier Aïno, pour qui la crise sanitaire doit nous rappeler, outre la nécessité de « faire mieux avec moins », également celle d’envisager « ce que l’on ne fera pas ».
Quelques mois après nos retrouvailles avec la ville, qu’en est-il de nos attentes pour demain ? Pour le philosophe de la ville et de l’architecture Philippe Simay, c’est la création d’un Green New Deal de la construction qui serait salvatrice, incluant notamment une formation concrète aux métiers du réemploi. Séverine Chapus, qui s’interrogeait durant le confinement sur le principe actif de la ville, aimerait, de son côté, continuer à bénéficier de toutes les initiatives d’entraide et de partage qui fleurissaient alors. Une adaptation qui convient parfaitement à l’ingénieur Frank Boutté, vigilant sur la nécessité, selon lui, de « ne pas tout remettre en question à l’aune de la crise ». Une idée que ne renieraient pas les architectes de l’Atelier Aïno, pour qui la crise sanitaire doit nous rappeler, outre la nécessité de « faire mieux avec moins », également celle d’envisager « ce que l’on ne fera pas ».