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Participez in situ ou sur le live Facebook et Instagram @pavillonarsenal, mercredi 8 juillet à 19h
Après le temps des contributions individuelles, vient celui de la discussion et du débat. Le Pavillon de l’Arsenal en partenariat avec tema.archi lance une série d’émissions, en public et sur les réseaux sociaux, pour questionner les différentes propositions recueillies dans le cadre du forum en ligne « Et demain, on fait quoi ? », qui rassemble plus de 190 contributions publiées depuis le 16 avril.
Quelles leçons tirons-nous de cette période inédite et quelle direction prendre pour construire le monde d’après ? Selon Raphaël Ménard, nous avons atteint, avec cette crise, « le pic de l’architecture », qui doit à l'avenir se faire « la capsule de repli, l’abri confortable et résilient » autonome en toute situation. L'architecte Paul Landauer, de son côté, fait le constat de l'absence de deux archétypes primitifs et révélateurs que sont le grenier et la tombe tandis que Alice Frémeaux relève l’urgence de « faire prendre place aux femmes, partout », ces victimes et stratèges du confinement et de l'espace domestique. Alors demain, on « stoppe l'engrenage »; nous intime l'architecte Susanne Eliasson, pour désormais s'adapter, au-delà de l'anticipation, car « demain, nous aurons besoin d’être à la fois proches et distants les uns des autres. La ville permet cela.
Quelles leçons tirons-nous de cette période inédite et quelle direction prendre pour construire le monde d’après ? Selon Raphaël Ménard, nous avons atteint, avec cette crise, « le pic de l’architecture », qui doit à l'avenir se faire « la capsule de repli, l’abri confortable et résilient » autonome en toute situation. L'architecte Paul Landauer, de son côté, fait le constat de l'absence de deux archétypes primitifs et révélateurs que sont le grenier et la tombe tandis que Alice Frémeaux relève l’urgence de « faire prendre place aux femmes, partout », ces victimes et stratèges du confinement et de l'espace domestique. Alors demain, on « stoppe l'engrenage »; nous intime l'architecte Susanne Eliasson, pour désormais s'adapter, au-delà de l'anticipation, car « demain, nous aurons besoin d’être à la fois proches et distants les uns des autres. La ville permet cela.