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Dans le cadre de l’exposition "La Grande Réparation", la table ronde Climate Matters reviendra sur l'Accord de Paris, un des documents les plus cités dans les discussions sur le changement climatique.
Axé sur les principes d'atténuation, d'adaptation et de développement de politiques de financement visant à atteindre des émissions nettes de carbone nulles d'ici 2050 et à maintenir l'augmentation de la température mondiale en dessous de 1,5 °C, l'Accord de Paris trouve également sa place dans les conversations sur les pratiques de design.
Pourtant, les questions concernant son impact, sa mise en œuvre et la faisabilité de ses objectifs restent ouvertes, alors que les nouvelles constructions, l'extraction de matériaux, la dégradation de la biosphère et la destruction engendrée par les guerres continuent de façonner nos environnements bâtis et non bâtis. En revenant sur ce document, exactement 8 ans après sa signature et sa publication, cette table ronde tentera de relire l'Accord de Paris du point de vue de la pratique spatiale critique, en se demandant : quel est le pouvoir, ainsi que les limites, de tels documents dans la création d'un cadre pour les projets de réparation à travers les domaines sociaux, politiques, environnementaux et spatiaux ?
Axé sur les principes d'atténuation, d'adaptation et de développement de politiques de financement visant à atteindre des émissions nettes de carbone nulles d'ici 2050 et à maintenir l'augmentation de la température mondiale en dessous de 1,5 °C, l'Accord de Paris trouve également sa place dans les conversations sur les pratiques de design.
Pourtant, les questions concernant son impact, sa mise en œuvre et la faisabilité de ses objectifs restent ouvertes, alors que les nouvelles constructions, l'extraction de matériaux, la dégradation de la biosphère et la destruction engendrée par les guerres continuent de façonner nos environnements bâtis et non bâtis. En revenant sur ce document, exactement 8 ans après sa signature et sa publication, cette table ronde tentera de relire l'Accord de Paris du point de vue de la pratique spatiale critique, en se demandant : quel est le pouvoir, ainsi que les limites, de tels documents dans la création d'un cadre pour les projets de réparation à travers les domaines sociaux, politiques, environnementaux et spatiaux ?