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À l'occasion du lancement de la deuxième saison de la collection de films Le Grand Paris des écrivains, projection en avant-première de cinq épisodes suivie d'une rencontre avec les écrivaines et écrivains :
_ Laurence Cossé, La Grande Arche
_ Faïza Guène, Quatre-Chemins
_ Philippe Jaenada, Gare Saint-Lazare
_ Jean-Charles Massera, On ne pouvait pas [sa]voir
_ Emmanuelle Pireyre, Les Arcades du lac
Soirée animée par Stefan Cornic, réalisateur des films
LE GRAND PARIS DES ÉCRIVAINSSoirée animée par Stefan Cornic, réalisateur des films
COLLECTION DE FILMS DOCUMENTAIRES
Après une première saison en 2020, le Pavillon de l’Arsenal lance dix nouveaux épisodes du « Grand Paris des écrivains ». Entre images documentaires, fictions littéraires et visions poétiques, cette nouvelle saison, produite par Année Zéro-Stéphane Demoustier, proposée et réalisée par Stefan Cornic, dévoile dix nouvelles contributions avec des textes inédits de Philippe Jaenada, Laurence Cossé, Marie Darrieussecq, Marie Richeux, Patrice Blouin, Faïza Guène, Emmanuelle Pireyre, Camille Laurens, Jean-Charles Massera et Laurent Binet.
« Le Grand Paris des écrivains » donne à entendre la voix d’auteurs et d’autrices contemporains sur des images de la ville aujourd’hui. Le principe en est simple : pour chaque film, un écrivain s’empare d’un bâtiment, un quartier, ou un axe du Grand Paris. Il ou elle écrit alors un texte, du genre littéraire de son choix, en lien avec l’espace choisi. La caméra du réalisateur, elle, capte l’esprit des lieux. Au montage, des correspondances se tissent entre l’histoire racontée en voix off et les images tournées.
Diffusés chaque mercredi, à partir du 6 octobre, les dix nouveaux épisodes dévoilent le paysage de la métropole que nous traversons quotidiennement sans toujours bien la regarder : le ballet des passants, le flux de véhicules, les enseignes lumineuses et devantures de magasins, l’architecture remarquable ou insignifiante, les arbres et herbes folles qui se frayent un chemin dans le bitume, la surface des édifices, l’activité des grues, les changements de conditions météorologiques et les variations de lumière, d’activité… Les films ralentissent le temps et révèlent le Paris d’aujourd’hui, en pleine période de métamorphose.