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"Le bâtiment est pour moi un paysage d’Israël… il se présente comme le Mur des Lamentations à Jérusalem avec ses pierres massives"
« Nous
sommes aujourd’hui au Centre Européen du Judaïsme (CEJ) de Paris, à proximité
de la porte de Champerret, sur la place de Jérusalem.
Le bâtiment est composé de trois entités programmatiques : un bâtiment de bureau, un bâtiment « école » et une partie destinée au public qui comporte une synagogue, une salle polyvalente ainsi que des salles d’expositions. Cet ensemble fabrique un bâtiment culturel et cultuel.
Le bâtiment fait référence aux paysages d’Israël notamment par l’utilisation de pierres massives qui font référence au mur des lamentations de Jérusalem, ancienne enceinte de la cité de David.
Dans un espace tel que la synagogue il est essentiel d’avoir un apport de lumière suffisamment important afin d’illuminer la totalité de l’espace. On note alors un jeu particulièrement intéressant entre la lumière du matin dont les rayons pénètrent frontalement l'espace, et la lumière de l’après-midi qui croise les rayons, perpendiculaires à la fenêtre de derrière.
C’est la première fois qu’un lieu de culte se positionne à l’intersection de rues : la synagogue est visible depuis l’extérieur et marque ainsi l’intersection du carrefour.
Si le bâtiment est perçu comme un ensemble il était donc indispensable de travailler l’élément paysagé. Le jardin se présente ainsi sous la forme de deux pentes en continuité qui permettent une progression douce vers le bâtiment.
Dans la combinaison des espaces, les bureaux bénéficient d’une exposition remarquable. Orientés plein Sud, ils jouissent d’une situation particulière avec une vue sur le Nord parisien dans une configuration cinématoscopique qui créer un rapport singulier entre le lieu où je suis, ce que je vois et ce dont je profite. »
- Stéphane Maupin, architecte
Le bâtiment est composé de trois entités programmatiques : un bâtiment de bureau, un bâtiment « école » et une partie destinée au public qui comporte une synagogue, une salle polyvalente ainsi que des salles d’expositions. Cet ensemble fabrique un bâtiment culturel et cultuel.
Le bâtiment fait référence aux paysages d’Israël notamment par l’utilisation de pierres massives qui font référence au mur des lamentations de Jérusalem, ancienne enceinte de la cité de David.
Dans un espace tel que la synagogue il est essentiel d’avoir un apport de lumière suffisamment important afin d’illuminer la totalité de l’espace. On note alors un jeu particulièrement intéressant entre la lumière du matin dont les rayons pénètrent frontalement l'espace, et la lumière de l’après-midi qui croise les rayons, perpendiculaires à la fenêtre de derrière.
C’est la première fois qu’un lieu de culte se positionne à l’intersection de rues : la synagogue est visible depuis l’extérieur et marque ainsi l’intersection du carrefour.
Si le bâtiment est perçu comme un ensemble il était donc indispensable de travailler l’élément paysagé. Le jardin se présente ainsi sous la forme de deux pentes en continuité qui permettent une progression douce vers le bâtiment.
Dans la combinaison des espaces, les bureaux bénéficient d’une exposition remarquable. Orientés plein Sud, ils jouissent d’une situation particulière avec une vue sur le Nord parisien dans une configuration cinématoscopique qui créer un rapport singulier entre le lieu où je suis, ce que je vois et ce dont je profite. »
- Stéphane Maupin, architecte